On dit que chaque chef·fe est singulier, oui c’est vrai, et même plus encore.
Les identités culinaires sont fortes et nous invitent à découvrir, à chaque fois, un univers très particulier : un peu comme si l’on découvrait une nouvelle contrée.
Les plats de Minouh Sabahi, de Zuri Camille de Souza ou encore de Mahir Atia ne sont en aucun cas des clichés d’une cuisine d’ici et d’ailleurs.
On a goûté :
– des moules au beurre blanc, garam masala, poireaux grillés à la flamme ;
– des rouleaux de printemps végétaux, radicchio, sirop de vinaigre à la menthe, agrumes, pecorino ;
– un ragù di polpo à la luciana avec ses gnocchettis maison.
N’oublions pas les cheffes Laura Vives et Victoire Pfister, avec leur déclinaison de choux.