On vous l’a dit, on fait le tour du monde chez Mokoloco. De la Corée aux Philippines en passant par le Vietnam, le Proche-Orient et l’Italie, on est à chaque fois emporté dans le tourbillon des saveurs de la vie. On aime les assiettes toujours d’une belle maîtrise agrémentée des identités marquées des chef·fe·s qui s’y succèdent. On a pu y voir passé du concombre carosello servi avec de l’eau de datarino fermentée, du piment et un gel de soja, ou un ragoût de lotte épicée, coques, artichauts, menthe; ce carpaccio de sériole, coulis de framboises pimentées, crème fraîche, salade nam piq et enfin cette caille grillée, sauce parmesan, mandu de girolles, persillade, tomates confites épices du moyen-orient. Il arrive aussi que des quatre mains enflamment le Mokoloco comme avec Joshua An en duo avec Nicholas Bazik ou avec José Oviedo. La surprise est toujours assurée.